Denys Morée – 62 ans – Cariel

Fils d’enseignants depuis trois générations, Denys Morée a choisi une toute autre voie en devenant officier de gendarmerie. Fort d’une expérience au service des autres qui l’a conduit à croiser des publics extrêmement variés, Denys, retraité depuis trois ans, souhaite désormais contribuer à la vie communale.

Après avoir parcouru la France pour exercer son métier, Denys et son épouse, originaire de Séné, ont décidé de s’y installer. Il ne le regrette pas, bien au contraire : « En arrivant à Séné, il y a 9 ans, j’ai tout de suite senti le liant qui anime cette commune. La vie associative y est très riche. Chacun croit en ce qu’il fait et cela se ressent. » Lui-même est secrétaire départemental et régional de l’association France Rein.

Dans l’exercice de son métier, Denys a été confronté à des situations difficiles, souvent des drames humains et surtout une grande diversité de personnes. « Ce métier m’a appris à ne pas juger. Le « gendarme » constate mais ne juge pas.. Le contact indispensable avec les personnes conduit forcément à s’intéresser aux autres et souvent, à avoir une approche sociale, à privilégier la prévention ».

Afin de continuer à agir pour le bien commun, Denys a décidé de s’engager après avoir cotoyé Luc Foucault au sein du Comité consultatif de l’Aménagement du Territoire. « Les élus sont au contact des citoyens et doivent se placer dans une logique de concertation, d’associations d’idées. Ensuite, ils peuvent agir car ils sont dans la sphère décisionnelle. C’est ce qui m’intéresse. Un élu n’a pas toujours raison mais doit être fidèle à ses convictions ».

Et comme on ne se refait pas, l’ancien motard, en parcourant les routes sinagotes, en voiture, à vélo ou à pied, a déjà identifié des points qui pourraient poser des problèmes de sécurité routière.

Retrouvez les portraits de tous les candidats (au fur et à mesure de leur présentation)